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Par jeannepaponet le 12 Juillet 2010 à 16:21
On ne cherche pas le bonheur
on le cueille tout simplement
au hasard de la route.Alors juste pour aujourd'hui
laisse un petit bonheur
faire de ta journée une fête.Cueille ces 2 minutes de bonheur que je t'offre
pour une journée harmonieuse et pleine de douceur de vivre
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Par jeannepaponet le 4 Juin 2010 à 10:54
Promettez-vous...
D'être si fort que rien ne puisse perturber votre paix intérieure.
De parler de santé, de joie, de bonheur et de prospérité à chaque personne à laquelle vous parlerez.
D'être trop heureux pour permettre la présence de troubles. De penser du bien de vous-même... et pour proclamer ce fait au monde, que ce ne soit pas en le criant, mais par de grands accomplissements et par votre rayonnement.D'aider chacun de vos amis à sentir ce qu'il a comme potentiel en lui et combien le fait de les connaître fait une différence dans votre vie.
De regarder le côté ensoleillé de chaque chose et de transformer votre optimisme en action.
De penser seulement à ce qu'il y a de meilleur, de travailler seulement pour le meilleur, et de vous attendre au meilleur.
D'être aussi enthousiasmé par le succès des autres que par le vôtre.
D'oublier les erreurs passées et de penser aux réussites futures.
D'être toujours chaleureux et de sourire à la vie.De tellement vous consacrer à votre développement personnel qu'il ne vous restera plus de temps pour critiquer les autres.
D'être sage et serein au point de voir les obstacles comme des défis menant à un plus grand épanouissement.
De ne songer qu'au mieux, de ne travailler que pour le mieux et de n'espérer que le mieux.
De vous aimer, de prendre soin de vous avec douceur et respect.
De faire de votre vie un oasis de plaisir où le rire, l'amour, la santé, l'harmonie sont des valeurs fondamentales.
Note: Il existe différentes versions sur internet de ce Crédo qui a traversé le temps, mais je l'ai retravaillé quelque peu. Je le trouve toujours aussi actuel..
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Par jeannepaponet le 5 Avril 2010 à 16:03
NOUS L'AVONS VU
envoyé par Chanteplume. - Futurs lauréats du Sundance.
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Par jeannepaponet le 18 Juin 2009 à 14:12
L' ENVOL des ANGES
L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants
Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs
Qui frémissent au souffle onduleux du mystère.Les longs voiles traînants des anges de la terre
Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une
Ascension dont l'essor tremble au clair de lune.N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ?
Les étoiles, au chant des sphères éternelles,
Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées,Qui lentement, parmi les ombres embaumées,
Et le soleil immense et bleu de toutes choses,
Eventent le silence et font pâmer les roses.(L'OMBRE est BLEUE
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Par jeannepaponet le 22 Février 2009 à 14:05
UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU
Il allait passer outre sans apercevoir la vieille dame bloquée à l'autre bord de la route. Mais à travers la faible lumière du jour, il pouvait pressentir son besoin d'assistance. Il s'arrêta devant la voiture Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac grésillante et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté pour l'aider. Et ce jeune homme, allait-il lui faire mal ? Il ne paraissait pas en confort mais pauvre et affamé. Et il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid. Il savait qu'elle avait la chair de poule et ressentait ce frisson que seule la peur entraînait.
Je viens vous aider ma -a man, dit-il, allez-vous asseoir svp dans la voiture où il fait un peu plus chaud... Par ailleurs, mon nom est Bryan Anderson
Eh bien, son problème était la crevaison; mais avec son âge avancé, elle ne pouvait rien toute seule. Bryan s'abaissa, fléchit les genoux, rampa sous la voiture cherchant comment placer le cric, serra ses articulations une ou deux fois. Quelques minutes après, il a pu remplacer le pneu. Il était devenu sale et légèrement blessée à la main. Quand il resserrait les goujons et les écrous, elle abaissa alors la vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu'elle était de la ville de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son secours. Bryan pouvait juste ébaucher un sourire en fermant sa malle d'outils. La vieille lui demanda combien elle devait payer. Elle pouvait tout accepter. Elle imagina des choses affreuses auxquelles elle s'exposait s'il ne s'était pas arrêté.
Bryan n'a pensé un seul instant être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. C'était aider quelqu'un dans le besoin. Et Dieu seul sait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé. Et il menait toute son existence de cette manière et il ne lui venait pas en esprit de faire autrement. Il lui a dit que si elle voulait vraiment le payer en retour, la prochaine fois qu'elle verra quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut, Souviens-toi de moi Il attendit qu'elle démarrât son véhicule et s'en allât avant lui. C'était une belle journée de froid et de dépression, mais il se sentit bien en prenant le chemin de la maison à la tombée de la nuit. A quelques mètres de là, la vieille dame trouva une cafétéria. Elle y fit son entrée pour se réchauffer légèrement le corps avec une bouchée avant de reprendre le reste du parcours à la maison. C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à gaz. Tout lui paraissait étrange. La servante l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour se nettoyer ses cheveux mouillés. Elle avait un gentil sourire que même rester debout toute la journée ne pouvait lui ôter. La vieille dame remarqua que la servante portait une grossesse d'environ huit mois mais ne laissait ni l'effort ni le travail changer son attitude.. Elle se demandait comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers un étranger. Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle a fini son repas elle paya avec un billet de 100 US$. La servante alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors et s'en alla avant que la servante ne se retourne. La servante se demandait où elle pouvait bien se trouver. Elle a alors remarqué une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui a écrit : « Tu ne me dois rien. Je suis passée aussi par là. Quelqu'un m'a une fois aidée à m'en sortir comme je le fais pour toi. Si tu veux réellement me payer en retour, voici ce qu'il faut faire : ne permets pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec toi »
Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 US$. Eh bien ! Il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir et des gens à servir mais la servante se décida à le faire un autre jour. Cette fois quand elle rentra chez elle, et monta au lit elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui a dit. Comment la vielle aurait elle su comment elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait comment son mari était inquiet et couché à côté d'elle, elle lui donna un doux baiser et chuchota légèrement et doucement à son oreille : « Tout ira bien. Je t aime, Bryan Anderson. »Il y a un vieux dicton qui dit « .
UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDUl
Les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.
Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la faire circuler. Permettez que cette lumière brille. Ne la supprimez pas !
S'il vous plaît, passer la à un ami. Les bons amis sont comme des étoiles... Vous ne les voyez pas toujours. Mais vous savez qu'ils sont toujours là.
QUE DIEU VOUS BENISSESVP
faire suivre avec un copié/collé
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